Desmemoria mon nouveau livre disponible en édition limitée en pré-vente!!

Publié le 10 septembre 2019

Voilà une bonne nouvelle pour la rentrée, mon nouveau livre, Desmemoria, édité aux Éditions Xavier Barral, arrive enfin!! 🙂

Et pour fêter l’évènement 2 Éditions Spéciales ont été réalisées.

  • Un coffret collector, édité à 20 ex, comprenant un tirage et le livre, signé et numéroté à 490€ (Série déjà épuisée).
  • Une édition limitée du livre, signée et numérotée à 100 ex et proposée à 45€ en pré-achat, soit le même prix que la version classique qui sera en vente à partir du 7 novembre.

En achetant la série limitée en avant première vous participez à la production du livre et devenez mécène du projet Desmemoria !

Le coffret collector étant épuisé, il est possible d’acquérir l’édition limitée du livre ICI
Ou en copiant ce lien :
http://exb.fr/fr/le-catalogue/389-desmemoria-9782365112437.html

Faites vite avant qu’il n’en reste plus!! 😉

Pour accompagner sa sortie, une exposition aura lieu à l’Espace Dupon Phidap, le vernissage sera le mardi 5 novembre 2019 (à noter dans vos agendas!). Je serai également présent à Paris Photo pendant toute la durée du salon. Des séances de signature seront organisées à Paris Photo et à l’Espace Dupon Phidap.

Plus d’informations sur l’exposition courant octobre.

Fiche technique :
Sortie officielle : 7 novembre 2019
140 photographies N&B et couleur
216 pages
Relié, 21,6 x 28,8 cm
Prix : 45 € TTC

Présentation de l’éditeur :

Desmemoria constitue un témoignage à la fois photographique, anthropologique et social sur la communauté des azucareros de Cuba – travailleurs de l’industrie du sucre et révolutionnaires de la première heure.

Pierre-Elie de Pibrac a vécu près d’un an en immersion chez diverses familles cubaines de cette communauté. À travers cette expérience, le photographe interroge la fin des utopies chez un peuple qui a cru et oeuvré pour que s’incarne le rêve castriste. Ce projet raconte comment les cubains appréhendent désormais leur quotidien, quel regard ils portent sur leur histoire récente.
Une nouvelle inédite de Zoé Valdés apportera un éclairage complémentaire à ce récit photographique.

Un dessin original de l’artiste cubain Alejandro Campins clôturera l’ouvrage.

Texte de l’éditeur : Desmemoria, une immersion cubaine

Entre 2016 et 2017, Pierre-Elie de Pibrac a sillonné Cuba et vécu chez diverses familles de la communauté des azucareros. Durant des décennies, l’industrie du sucre devait être le faire-valoir de l’économie cubaine et était à cette fin célébrée par Castro et ses troupes : « Le sucre est notre histoire, sans lui il est impossible de comprendre l’essence et l’âme de Cuba », souligne l’historien cubain Eusebio Leal Spengler. Plus d’un demi-siècle plus tard, cette économie sucrière n’a pas tenu ses promesses d’émancipation, à l’image de l’idéologie castriste.

En immersion dans les zones rurales, Pierre-Elie de Pibrac est parti à la rencontre des habitants des bateyes (villages) des centrales sucrières. Toujours en activité ou désaffectées ces cités du sucre et ses travailleurs témoignent de vies sacrifiées à l’aune d’une doxa utopiste. Les bateyes sont les théâtres du désenchantement de la société cubaine. Il y règne une ambiance pesante qui souligne la solitude, la pauvreté, l’isolement et la précarité. Usines tombant en décrépitude, routes non entretenues, logements désaffectés : ces lieux incarnent la chute des utopies révolutionnaires et invitent à réfléchir à l’avenir politique et social de l’île.

Le parcours de Pierre-Elie de Pibrac dessine la cartographie d’une économie désormais obsolète. Ses images montrent des vies dont le fil a été suspendu : des enfants jouent dans des cités qui s’effritent où le temps s’est arrêté ; ailleurs, dans les usines et les champs, ouvriers et coupeurs de canne n’ont presque rien à faire, et les entrepôts ne stockent qu’une maigre production. Autant d’images d’un quotidien qui se délite, de scènes de vie désormais confinées à une activité réduite, loin des élans fédérateurs des anciens révolutionnaires. À travers cette expérience,
le photographe interroge les fondements de la révolution cubaine alors que le pays vit une période de transition depuis la mort de Fidel Castro, en 2016.

www.pierreeliedepibrac.com

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